Waouh !
J'ai découvert Mandico très récemment avec les Garçons sauvages que j'avais trouvé formidable et là avec Ultra Pulpe je pense que je viens de commencer une intense histoire d'amour avec lui. Ce court...
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le 17 déc. 2018
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Schroeter me manque ! Au "camp" classique mais non moins fiévreux du 1e s'oppose la débauche queer de Mandico. Le tout élaboré avec ce qu'on fait de pire dans l'art : le "délire de l'artiste". (re)Voyez "Un chien andalou" ou "Dog Star Man".
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le 13 août 2018
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Argh ce grand écart, cette déception mâtinée de "Pourtant j'ai eu ce que je voulais" ! Les Garçons Sauvages m'avait foutu une baffe par sa direction artistique, ma seule envie était de découvrir les...
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le 13 juin 2018
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Si la surprise est moindre puisque Les garçons sauvages sont passés avant, je retrouve dans Ultra pulpe l’univers que j’avais découvert, cette démesure orgiaque, cette volonté de creuser...
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le 6 nov. 2018
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