Comme dans ses films noirs suivants, "El Lobo" (1) et "GAL" (2), Miguel Courtois en fait des tonnes dans la noirceur, la psychologie à deux francs sous couvert de soi-disant complexité des personnage, des tommes dans une réalisation très faible masquée par des effets d'esbroufe (lumières, ralentis, musiques polyphoniques...).
Tout est toujours trop chez lui, ce qui donne finalement du rien en terme de résultat cinématographique.
En fait, je suis injuste avec lui : ce n'est pas rien, c'est plutôt ridicule.
(1) http://www.senscritique.com/film/El_Lobo/1341829
(2) http://www.senscritique.com/film/Gal/434118