Dans un été comme ça, il y a un côté vachement captivant autour de la thématique des thérapies pour addiction sexuelle autour de profils de 3 femmes qui vont tant bien que mal dans un centre spécialisé se délester de leur addiction. Bon, les films de 2h15 encore plus quand ils sont français m'ennuient très franchement, donc sauter le pas sur ce film n'était pas évident.
Parce que finalement, si ce film s'avère plus psychologique notamment autour des portraits des femmes au possible, Un été comme ça ne peut n'égliger les énormes lenteurs de la proposition de Denis Côté (combien de scènes sont clairement trop exploitées, sans bruit et avec un silence plombant).