Le scénario est quasi inexistant, je ne suis pas seul à le penser.
Mais au-delà de ça, il reste quand même quelque chose d'un bon Melville, pas le meilleur, loin de là, mais quelque chose qui rend le film attrayant, captivant et dont on (je) ne se lasse pas.
Et cette chose si particulière, qui faisait tout le sel du Samouraï se retrouve dans la première scène du film et celle du train. C'est limite du western, c'est limite du muet, c'est assez classe quand même.
Mais oui, j'entends, c'est pas un grand Melville. En même temps, vu la carrière du bonhomme, faut pas trop en demander à chaque fois non plus.