Psychologie de la guerre
Alors que les États-Unis sont entrés en guerre contre le Japon dans le Pacifique, le Royaume-Uni est toujours seul à lutter contre le III° Reich en Europe occidentale. Depuis quelques mois...
Par
le 4 janv. 2017
7 j'aime
Un peu déçu.
L'histoire n'est pas inintéressante, surtout que l'auteur met bien plus en avant la psychologie humaine que la guerre ; malheureusement, c'est un peu facile, on ne ressent pas assez la difficulté de la tâche. Peut-être parce qu'on ne vit pas, justement, les envolées guerrières, or ce sont les moments où les conflits sont palpables et où l'on aurait pu voir les hommes se rapprocher. Il manque aussi des personnages plus décortiqués auxquels s'attacher ; finalement, les soldats sont abordés aussi froidement que le boss, alors qu'on devrait sentir une différence de traitement. Mais ça reste assez sympa à suivre malgré tout.
La mise en scène n'est pas vilaine, la caméra bouge suffisamment, avec des plans variés comme il faut. La mise en scène est classique, mais efficace. Les acteurs font un boulot correct par rapport à l'écriture du personnage. Un peu déçu quand même de la prestation de Greg qui manque un peu de froideur, voire même de vice pour interpréter quelqu'un qui ne devrait pas avoir peur de se faire mal aimer.
Bref, un peu déçu. Mais ça reste correct.
Créée
le 29 oct. 2018
Critique lue 150 fois
D'autres avis sur Un homme de fer
Alors que les États-Unis sont entrés en guerre contre le Japon dans le Pacifique, le Royaume-Uni est toujours seul à lutter contre le III° Reich en Europe occidentale. Depuis quelques mois...
Par
le 4 janv. 2017
7 j'aime
Parler d'Un homme de fer comme d'un film de guerre serait presque une erreur, étant donné que sur les plus de deux heures, il n'y a qu'une dizaine de minutes de combats aériens, car nous sommes plus...
Par
le 5 nov. 2019
4 j'aime
3
Henry King prouve à nouveau ici quel excellent metteur en scène il est, sachant donner une grande intensité au récit et à ses personnages. Bien plus qu'un film de guerre, "Un homme de fer" évoque en...
Par
le 29 oct. 2017
1 j'aime
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
121 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
108 j'aime
55