Suite au succès monstrueux du 1er volet, les producteurs peu scrupuleux (on parle de la Canon hein) ont dans la foulée lancé un second volet, qui reprend les mêmes éléments du 1er mais en montant le niveau. Ce n'est plus la femme assassinée, c'est la fille, on change de ville pour Los Angeles (avant de revenir à NY dès le film suivant) et ça dézingue encore plus. Le cinéaste a de moins en moins de scrupules à faire sombrer son personnage dans la vengeance pure et la violence gratuite, atteignant assez vite les limites de l'acceptable.