Que dire, si ce n'est qu' « Un prince (presque) charmant » ne brille ni par son originalité, ni sa finesse. L'idée de départ est sympathique (sans plus), mais Luc Besson fait une fois de plus preuve de son talent extrêmement limité au niveau de l'écriture, les moments vraiment drôles s'avérant rarissimes. Pour le reste, cela n'est pas désagréable, mais s'oublie pratiquement dans la seconde après avoir quitté la salle. Bref, une comédie romantique on ne peut plus gentillette et anecdotique, dont on retiendra uniquement la présence irrésistible de la somptueuse Vahina Giocante, que l'on préférerait toutefois voir dans des productions autrement plus ambitieuses. Dispensable.