« Aujourd’hui rien d'extraordinaire, rien que le train-train du merveilleux… » - François Coupry.
Sauver une jolie jeune fille du suicide un matin, tout abandonner et sauter dans un train l'après-midi pour une destination à plus de 2000km. Une journée pas comme les autres pour le professeur Raimund Gregorius, un professeur de latin de Berne, une ville Suisse. Suite à la lecture récente d'un livre de Amadeu de Prado , originaire de Lisbonne, sa désinvolture et son amour récent pour l'auteur l'emporte sur sa vie monotone, il part à sa recherche. Il veut tout savoir de lui.
Il va y découvrir un monde à part et va devoir composer entre les flash-back de résistants de la dictature de Salazar et l'époque à laquelle il les entend. Une symbiose est née.
Une douceur émane véritablement de Night train to Lisbon.
Entre amitié et silence, trop de maux/mots restent inavoués et abîment tous les jours un peu plus le quotidien.
Raimund Gregorius sera la parole des mots éteints.
“We leave something of ourselves behind when we leave a place, we stay there, even though we go away. And there are things in us that we can find again only by going back there.”
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