Petit avant-propos pour vous informer que ce n’est pas une véritable critique du film mais plutôt un texte qui s'inspire du périple qui s’inspire des tribulations d’Andrew Garfield dans le film, du coup il y a des spoils, en particulier sur la fin .
Épier et fantasmer, voilà ce qui semble combler la vanité de mon quotidien.
Les Quatre Fantastiques :
Drogue, Sexe, Alcool et Religion, seules sont ces choses qui donnent un sens à notre existence.
Et sans oublier la pop-culture, opium de notre génération de paumés.
Pris au piège d’une ville malade, Los Angeles, la Cité des Anges Déchus.
Où les rêves s’évanouissent, jeunesse cultivant sa désillusion.
Le réel s’effondre sous mes pieds, lestés par mes obsessions,
Si bien que je ne peux distinguer la réalité de l’affabulation.
Link désenchanté,
Perdu dans une forêt de symboles, avec des messages subliminaux comme seuls repères.
Une rencontre suffit pour détruire les idoles de ma jeunesse, leur musique n’était que l’oeuvre d’illustres inconnus,
Des messages savamment dissimulés dans des chansons, dans une optique de manipulation.
Plongé dans un Vertigo existentiel, Arghh !!!!
Crâne fracassé, sentiment salvateur
Comme Dante, je m’enfonce dans les cercles de l’Enfer, je retrouve une fille disparue, captive d’un Charles Manson des temps modernes,
Tous prêtaient allégeance aux sacro-saintes vanités.
Parti en quête d’un sens à la vie, je me suis finalement rendu compte qu’il fallait accepter son non-sens.
Une fois le Bad Trip terminé,
Il est temps d’affronter la réalité.