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Tout comme dans les "39 marches" et "Jeune et innocent", c'est le concept du couple uni face à un monde hostile qui semble être au centre d'"Une femme disparaît". Cette fois, le film démarre comme une comédie, avec sa galerie de personnages drolatiques, avant qu'un événement (la disparition de Mrs Froy) rende l'atmosphère chargée de paranoïa et progressivement plus inquiétante. Le mystère total et absolument captivant fait avancer le film, qui bien sûr est toujours aussi improbable (une grand-mère au service du contre-espionnage anglais), et toujours aussi prenant, divertissant et rythmé. Une gageure à noter, celle du quasi huis clos dans un train, et deux scènes mémorables, celles du nom qui s'efface sur la vitre et des verres empoisonnés.
BlueKey
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le 11 août 2014

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