Critiques de Une femme dont on parle

Amrit
8

Les plus que rien

Je me demandais ce que Mizoguchi allait bien pouvoir tirer de ce contexte si semblable à celui des Musiciens de Gion. Vous n'en avez pas marre des geisha, Mizo-san ? Précisons qu'il s'agirait d'une...

le 30 déc. 2021

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constancepillerault
7

Critique de par constancepillerault

Un film un peu méconnu de Mizoguchi, et c'est bien dommage. Une fois de plus, Mizoguchi y traite de la condition féminine en montrant une maison de geishas (comparable à celle de la Rue de la...

le 9 janv. 2020

5 j'aime

JimAriz
7

Critique de par JimAriz

Si Mizoguchi excelle dans les films d'époque (ses deux "Contes", L'intendant Sansho etc...) il sait aussi très bien faire une étude de meurs contemporaine, ce qu'Une femme dont on parle prouve à...

le 10 janv. 2014

2 j'aime

Samantha-CM
6

So good

Des paroles qui pourraient etre prononcées aujourd’hui. La relation mère / fille ✅ On conclut effectivement que les hommes sont tous à expier ✅ On peut y lire des relents de féminisme et une défense...

le 16 juil. 2021

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dieujaune
6

Passable par rapport au reste

Le féminisme récurrent de Mizoguchi est impressionnant surtout lorsque l'on compare la place de la femme dans les mêmes années dans le cinéma américain. Elles sont ici centrale quand dans le cinéma...

le 22 mai 2020

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YasujiroRilke
7

Critique de par Yasujirô Rilke

Derrière ce titre ultra random, se cache un mélodrame social très fort. A travers lequel se glisse une critique du statut de geisha, un portrait de la condition féminine au Japon. Et des enjeux...

le 3 août 2019

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JM2LA
7

Telle fille, telle mère

[Pour mémoire :] Le film ne sort qu'une fois ou deux de la maison de plaisir qui en est le théâtre mouvementé. C'est d'ailleurs pour aller au théâtre et jouer d'une relation cruelle avec le réel...

le 14 sept. 2015

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unknown_simon
7

Les hommes, toujours les hommes

Une fois de plus, Kenji Mizoguchi suit le destin de femmes dans un monde dominé par l’argent et les hommes. Dans ce quasi huis-clos, elles ne peuvent jamais suivre leur vocation, car criblées de...

le 8 janv. 2022