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Méril Strip
Critique publiée sur Kultur & Konfitur. L'histoire du film est connue mais je la rappelle quand même parce que : Cannes 1964, Godard rencontre Luigi Chiarini, directeur de la Mostra (depuis...
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le 9 mars 2014
9 j'aime
Une femme mariée par Teklow13
La femme mariée s'est Macha Méril, qui passe des bras de son amant à ceux de son mari.
Je m'attendais à un Godard mineur, c'est finalement pour moi l'un de ses plus beaux films. C'est très ancré dans la période nouvelle vague et à situer dans sa filmo quelque part entre le mépris et vivre sa vie pour la forme et le sujet. Pour sa façon de filmer le couple, de filmer la femme et de voir évoluer la femme au sein du monde, au sein du couple. Mais avec des digressions intellectuelles qui rappellent ce qui viendra plus tard. D'apparence très pop, léger, 60's il cache des thèmes un peu plus douloureux et profonds.
Godard choisi un filmage libre en extérieur et un découpage ultra stylisé, découpé, gracieux et composé pour les scènes à deux. En gros plans, en intimité. Cette femme, libre lorsqu'elle est dehors, dans les rues parisiennes, semble étouffer dans un cadre fermé par un sentiment qu'elle ne comprend pas, qu'elle ne maitrise pas, lorsqu'elle est en présence d'hommes.
Au passage j'ai peu vu la femme aussi bien filmée et magnifiée au cinéma que dans ce film. Macha Méril peut remercier Godard.
Je m'attendais à un Godard mineur, c'est finalement pour moi l'un de ses plus beaux films. C'est très ancré dans la période nouvelle vague et à situer dans sa filmo quelque part entre le mépris et vivre sa vie pour la forme et le sujet. Pour sa façon de filmer le couple, de filmer la femme et de voir évoluer la femme au sein du monde, au sein du couple. Mais avec des digressions intellectuelles qui rappellent ce qui viendra plus tard. D'apparence très pop, léger, 60's il cache des thèmes un peu plus douloureux et profonds.
Godard choisi un filmage libre en extérieur et un découpage ultra stylisé, découpé, gracieux et composé pour les scènes à deux. En gros plans, en intimité. Cette femme, libre lorsqu'elle est dehors, dans les rues parisiennes, semble étouffer dans un cadre fermé par un sentiment qu'elle ne comprend pas, qu'elle ne maitrise pas, lorsqu'elle est en présence d'hommes.
Au passage j'ai peu vu la femme aussi bien filmée et magnifiée au cinéma que dans ce film. Macha Méril peut remercier Godard.
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le 13 juin 2012
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