Qu’est-ce qu’il reste à l’humain une fois enlevées la nature, les aspirations, la jeunesse ?
Qu’est-ce qu’il reste comme vie possible dans un océan de néant ?
Qu’est-ce qui reste faisable devant l’immuable ?
Un animal social dont la tanière peut, a priori, être un grossiste alimentaire. Une vie en communauté bien rangée, des affinités et des engueulades, pour laisser s’exprimer une légèreté de vivre lorsque la chape routinière laisse dégazer… jusqu’à ce qu’elle se referme à nouveau.
Des chariots élévateurs tournoyant dans des allées aseptisées, un air de valse entraînant, l’humanisation d’un paysage immuable.