Le film démarre très très fort, avec des envolées poétiques dignes d’une collégienne Skyblog en pleine crise d’adolescence et qui vous feront rire à gorge déployée.
S’ensuit des interventions tout aussi drôles avec le notaire qui est une véritable parodie (en gros il dit tout le temps « blablabla » à la lecture du testament) et la messe en latin où des mots sont balancés au hasard comme on faisait à l’école primaire quand on voulait jouer à parler anglais.
Enfin, autre intervention hilarante, c’est quand la jeune fille décide de se baigner à poil sous le regard pervers d’un comte et de son servant. Quand ils se feront attraper par un autre villageois, ils partiront non sans que son assistant balance des « courrez Monsieur le comte ! ».
Bref du pur nanar qui annonce du très lourd. Mais malheureusement, ça sera de courte durée. Vers la moitié, le film prend une direction pseudo-poétique ultra chiante. Le film perd totalement son intérêt, et on finit par s’emmerder.
Dommage, mais Franco a fait pire. Heureusement que les nombreuses scènes de nu dynamisent cette dernière partie.