Voilà ce que hurle Kaleb le personnage principal de ce film après s’être rendu compte que les araignées qu’il a acheté dans une sombre boutique ait proliféré dans tout l’immeuble.
C’est aussi le cri que le film aurait poussé si il en avait été capable.
Mais entre le pseudo messages engagés des cités abandonnées à leurs sorts, les relations aussi creuses qu’inutile entre nos personnages principaux, les morceaux de rap posés la on ne sait pourquoi (Osirus Jack pour le moment émotion ? Vraiment ?), le film n’a pas vraiment le temps de parler.
Pourtant on y croit au début, on a envie de se faire emporter dans cette histoire, de se faire surprendre par ces araignées
Et même en passant sur les incohérences, la peur des araignées pour la lumière ça dépend quand ça arrange, le fait qu’il aurait juste du aller au premier étage et sauter PUTAIN
Jérôme niel qui se sacrifie pour tuer tout le monde ?
a vouloir mélanger tout les styles on finit par n’être efficace dans aucun et malgré quelque plans chouette et une bonne volonté, vermines ne m’a pris dans sa toile