Vice Versa est grand, fort et intelligent, il arrive à expliquer au littéraire comme au scientifique l’une des choses la plus compliquée et incomprise du corps humain : le cerveau.
Nous sommes donc dans la tête d’une petite fille régie par cinq les émotions Joie, Tristesse, Peur, Colère et Dégout qui doivent ensemble faire face à la perte de repère et à la dépression causée par son déménagement.
Seulement, une action peut entraîner un problème et que faire face au problème, comment réagir, tant de chose auxquels doivent penser nos émotions, mais qui donne une sensation de boucle, qui peut paraitre redondante, mais pas forcément gênante.
Enfin, même s’il ne brille pas de par son aspect artistique, on pourra noter de lui son ambiance et de belles couleurs, qui font de lui l’un des meilleurs Pixar, si ce n’est le plus intelligent.
De plus, le générique arrive comme la cerise sur le gâteau, apportant le bonus d’humour n’ayant pu être intégré au film pour conserver le rythme. Une utilisation du générique intelligente (encore une fois), comme on aimerait en voir plus souvent.
Proche du chef d’œuvre, c’est un coup de cœur et je le recommande.