C'est dans le manque de repères que se forment les décisions les plus hasardeuses.
Victoria, incarnation désincarnée d'un réel no future (pas par attitude mais par obligation) se retrouve attirée par ceux qui comme elle n'ont rien qui les attend une fois la nuit passée.
On suit alors nos 4 coquilles vides (chargées de quelques stimulants) pour un périple qui va droit dans le mur.
Reste la musique de Nils Frahm en réminiscence d'une époque révolue, dernier chant du cygne d'une une vie qui arrivée à son terme, aimerait renaître de ses cendres.