[...] Violator, de Jun’ichi Yamamoto, [...] fut une véritable dinguerie [...] Via un site internet, divers jeunes gens se donnent rendez-vous dans un village isolé, afin de se suicider collectivement. La protagoniste principale, quant à elle, se rend également sur les lieux pour tenter de savoir ce qui est arrivé à sa petite soeur disparue. Le réalisateur multiplie ici les séquences violentes et sanglantes, mais sur un ton totalement décalé, en alternant le malsain et la débilité assumée. Ce qui, par moments, confine au surréalisme (la séquence de fellation meurtrière commise par une femme-démon sur un jeune homme puceau). Et niveau suspense, un twist final surprendra de nombreux spectateurs.
(Ceci est un extrait du compte-rendu du Festival Cinéma Interdit 2024, édition bruxelloise. Pour le compte-rendu en entier, cliquez ici : )
http://www.mefamo.be/MFMarts/compte-rendu-du-festival-cinema-interdit-2024-edition-bruxelloise/