Un peu ennuyeux !
Creatures the world forgot peut être considéré comme le dernier film du « cycle préhistorique » de la Hammer, après Un million d’années avant J.-C. (1966), Les femmes préhistoriques (1967) et Quand...
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le 26 août 2020
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Creatures the world forgot peut être considéré comme le dernier film du « cycle préhistorique » de la Hammer, après Un million d’années avant J.-C. (1966), Les femmes préhistoriques (1967) et Quand les dinosaures dominaient le monde (1970). Les scènes de l’irruption du volcan et du tremblement de terre sont d’ailleurs reprises d’Un million d’années avant J.-C. Ce film passe souvent pour ce que la Hammer a produit de pire et les amateurs des films précédents ont certainement été déçus de l’absence complète de monstres préhistoriques et de la volonté de rompre avec la fantaisie du genre et de viser une certaine « authenticité ». Le film a d’ailleurs la particularité de ne comporter absolument aucun dialogue ce que l’on peut considérer comme assez novateur pour l’époque et annonçant La guerre du feu de Jean-Jacques Annaud. Il est aussi tourné presque complètement en Afrique du Sud, en décor naturel, et non en studio. Et, curieusement, il est assez violent et sanglant pour ce type de production de l’époque. L’histoire est d’une grande simplicité reprenant le thème de la lutte fratricide d’Abel et de Caïn. Dans son entretien, en bonus de l’édition ESC, Christophe Foltzer juge que le film est proche d’une tragédie shakespearienne ! À vrai dire, je l’ai personnellement trouvé plutôt ennuyeux ce qui n’est pas du tout le cas des tragédies de Shakespeare !
Créée
le 26 août 2020
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