Noir/Blanc, une femme filmée, par qui, par lui, par l'homme, par son homme, celui dont il ne faut pas dire le nom, car rien que le nom, le nom, sonne prétentieux, mais ce n'est...
Anna Karina, mignonne, comme toujours se cherche, petite vie sans grand intérêt, elle décide de se prostituer pour apporter un petit quelque chose dans sa vie.
Film en douze tableaux comme précisé dans le titre, 12/douze chapitres plus ou moins courts comprenant de nombreux plans séquences, on y voit des dos, des visages, une image, un reflet, la vie, toujours filmée par celui... ...grave, car celui ci n'est pas....
J'aime bien écrire des critiques sur les films du père Dieuart, car je me lâche et ne suis pas obligé de respecter une structure quelconque, à l'instar de Jean Luc quand il fait un film.
DEUXIÈME PARTIE
Pas plus creusée que la première, cette partie se concentrera sur...
Philosophie accompagnée d'une mélancolie, pourquoi pas sur la bouche ? Godard, ça y'est c'est dit ! Filme sa femme avec tendresse et passion, il suffit de voir la scène où elle danse au dessus de ce bar, précédée d'une performance clownesque amusante, pour s'en rendre conte de fée.
Ici vie, elle, pourquoi ? Raoul !
Lulu ne se joue pas ici d'un montage brutal et de sons inaudibles, nan seule la musique du Grand Michel retenti, en boucle, pendant que Nana s'affaire à finir dans de mauvaises postures, car dans la vie, il y a la vie et puis la...
CONCLUSION FINALE EN UN DERNIER POINT
C'est donc un film plus intimiste dans la carrière du petit cheveux lingual, aucune prétention ne fut ressenti lors du visionnage, je n'ai pas pour autant été touché ni émotivé par l'histoire, mais ça reste un bon petit moment de passé en compagnie d'une toujours charmante madame Karina.