« Voie rapide » est un petit film au scénario basique incarné par des acteurs monolithiques, avec à leur tête un Johan Liberau suintant le mal-être du début à la fin.
On comprend que le tuning est une addiction de pauvres, de types de la « working class » qui placent toutes leurs maigres économies dans le gonflage de mauvais gout de voitures afin de donner un sens à leur vie et se valoriser.
Malgré quelques scènes assez fortes de course-poursuites et une ambiance bien glauque de la banlieue Sud de Paris, « Voie rapide » ne réussit pas à passer la troisième et plafonne dans les bas régimes.
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