Who curbed my enthusiasm?
Prenons Larry David, toujours aussi excellent, mais juste Larry David. Virons tous les autres crétino-pseudo-acteurs du film. En renommant le film "Larry et son nombril : le film", j'aurais mis un bon 7 et encore, si Allen n'avait pas été aux manettes. Car le bougre aime user de sempiternels clichés sur l'Homme et ses comportements (religion, sexualité etc) qui plombent considérablement ce que j'avais considéré, le temps d'une heure, comme un bon divertissement. On va voir Whatever Works comme on va essayer un nouveau restaurant. On pense que ce sera différent et finalement on en ressortira toujours avec une gastro malgré le bon moment passé. Peut-être que le cuisinier aurait dû chanter deux fois "Happy Birthday Woody" pour éloigner les germes.