Dans ce film, nous suivons un soixantenaire citadin et aigri qui nous parle de sa vision du monde. Son intelligence extrême lui donne un regard extrêmement cynique sur la société. Les humains ne sont pour lui que des moutons qui cherchent à assouvir les mêmes envies en boucle, de génération en génération, sans recul ni vue d’ensemble. Il est en fait très désabusé, très négatif et vit isolé, jusqu’à ce qu’une petite blonde de 20 ans débarquant de sa province s’installe chez lui, et tombe amoureuse du vieil homme.. Au début sur la défensive, il va finir par s’attacher à cette fille un peu simple mais qui lui apporte de la joie, jusqu’au jour où celle-ci va rencontrer un jeune et beau garçon de son âge..
Le film à plusieurs défauts, comme des acteurs assez moyens -mis à part le personnage principal- et un happy-end (même si ce n’est pas celui auquel on s’attend)
Les parcours des personnages sont originaux : chacun s’ouvre aux "possibilités" de la vie, à tel point que ça semble peu réaliste finalement. Pour citer quelques exemples : cela va du classique adultère aux changements de vie autour de cinquante ans : ménage à trois et relation entre [..]
critique publiée sur https://boulimiedeculture.wordpress.com/2013/12/15/whatever-works/