Potata teste la patience du joueur. Vraiment. Beaucoup. Le gameplay est tellement déplorable qu'il suffit de sauter une seule fois pour comprendre que la précision n'est pas le fort du jeu, tant et si bien qu'il y a des niveaux et même des boss qu'il faut affronter 5465436546542 fois avant de réussir. C'est frustrant, d'autant plus que chaque échec titille votre ego, donc vous pousse à réessayer encore et encore. C'est « un saut sans fin », ce machin.
Les indications des quêtes sont peu précises, il faut avancer au petit bonheur la chance et espérer tomber sur le bon personnage, lequel se met alors à discuter de trucs inintéressants. Je n'ai jamais pris le temps de lire les dialogues parce que l'histoire n'est pas, mais vraiment pas, passionnante. Je pensais du reste que sauver notre renard de compagnie était LA mission, mais pas du tout. Il faut en fait reconstituer une fleur en trouvant tous les pétales, fleur qui mène tout droit à une fée énervée. FIN (Il y a bien quelques puzzles sympas mais quand on est bon en logique ou je ne sais quoi, ils se font trop facilement.)