En 2016, avec Oxenfree, Night School Studio avait séduit. Visuellement, certes, mais surtout pour son système de dialogues actif, qui forçait à la spontanéité. Les dialogues en eux-mêmes se voulaient réalistes. Le studio visait l’empathie comme but ultime, tout en valorisant les choix faits par le joueur. Avec Afterparty, les californiens pavent l'enfer des mêmes intentions, en lâchant cette fois la bride au petit diablotin sur leur épaule gauche. Pour le meilleur.
Longue critique illustrée sur La Gazette du Game