Ripleytitif
Alien Isolation était dès son annonce un jeu au potentiel très élevé : on incarne la fille d'Ellen Ripley, Amanda, perdue sur une station spatiale (Sébastopol), pourchassée par un seul et unique...
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le 17 oct. 2014
51 j'aime
12
Je ne finirais malheureusement pas Alien: Isolation. Pourtant hyper client sur le papier: peut-être mon univers préféré, un style de jeu que je fréquente régulièrement... l'esthétique du jeu est irréprochable et les premiers moments sont magiques. Musique, jeux d'ombres, quantité de détail... c'est impeccable. J'ai commencé à déchanter quand on rencontre les androïds, et que 50% de la narration s'est mis à être transmise par des mails comme dans Doom3. Ces niveaux à androïds, c'était juste chiant: se cacher, attendre 30 ans qu'ils passent. vérifier où ils sont... et dans tout ça on me demande d'aller à un endroit, de revenir. Les premières rencontres avec l'alien sont magiques, la mise en scène, musique, sound design... la flippe marche bien. Et puis au bout du 2e niveau avec lui, je comprends que ça reste très mécanique et froid - que l'Alien est juste une caméra qui se déplace selon un patern et quelques paramètres lié à son expérience. Un cache-cache bien répétitif et long, qui ne me fait pas flipper puisque le jeu et sa mécanique apparaît devant moi à nu, je lis le design du niveau et je ne suis plus Ripley qui flippe de se faire bouffer. Malgré quelques scènes bien puissantes (hors gameplay souvent), je n'ai pas envie de jouer à ça en boucle, tant pis
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il y a 5 jours
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