Borderlands se distingue de la masse écœurante des FPS conformistes actuels, par 3 points essentiels : Un aspect Cell-shading particulièrement soigné aux antipodes des visuels des Call Of Duty ou Battlefield qui se veulent ultra-réaliste. Un gameplay joignant à la perfection combats acharnés digne d'un Halo et un aspect Hack'n Slash qui nous pousse à la recherche du loot et une optimisation des compétences de son personnage tel un ... Diablo ! Enfin, tous ces ingrédients mijotent dans une ambiance folle, bourrée de second degrés à l'humour omniprésent.
Alors, pourquoi acquérir ce titre plutôt que d'acheter/rejouer au premier épisode qui se trouve maintenant en édition intégrale pour une poignée d'euros et qui présente toutes les qualité citées ci-dessus ?
Parce que Gearbox nous livre un chef-d'oeuvre qui a apprit des quelques erreurs du grand frère.
Graphique un peu trop ternes, monotones ? On balance la palette de couleurs. Résultats des environnements variés, vifs, grandioses.
Une profusion d'armes qui se s'avèrent trop semblables ? Un nouveau système de classement ou chaque marques d'armes présentent des particularités aussi bien physiques que techniques.
Un scénario trop en arrière plan ? Un nouveau bad-guy beaucoup plus charismatique, un fil narratif plus clair et un boss final impressionnant.
Des classes trop limités ? 4 nouveaux personnages aux arbres de compétences plus riches qui peuvent complètement changer la manière d’appréhender les combats selon les points attribués. Et histoire de se la péter, l'arrivée d'un système de customisation de son avatar.
La liste des nouveautés est encore longue. Alors, le plus simple reste encore d'y jouer. Et comme c'est un Borderlands, y jouer entre amis.