Burnout est le jeu parfait pour ceux qui sont nuls pour conduire des bagnoles dans les jeux de courses à la sauce Gran Turismo, ayant commencé avec l'épisode Burnout 3 : Takedown, cette série m'a carrément réconcilié avec les jeux de courses pour la simple raison que bousiller des bagnoles fait partie intégrante du gameplay depuis son premier jeu si je me trompe pas ( jamais joué au premier épisode ) et évidemment, le but est pas juste de tamponner les concurrents pour choper de la nitro, il faut aussi gagner les courses.
Si les 6 épisodes d'avant Burnout : Paradise se déroulaient dans des circuits, cette opus est entièrement en monde ouvert dans une ville balèze, offrant plus de possibilités lors des nombreuses courses et autres activités qui vous invite bien entendu à faire le cinglé sur la route avec les nombreuses caisses que l'on pourra débloquer au fil de la progression.
Niveau scénar', c'est pas compliqué, cela se résume à : gagne une tonne de courses pour être le patron sur le bitume, donc pas la peine de se creuser le cerveau, d'ailleurs il est conseillé de le mettre en veille sauf pour prendre des raccourcis lors des courses, ça tombe bien, il y en a pas mal.
Durant vos trajets, vous serez accompagné d'une radio composé d'un répertoire musicale ultra diversifié et de qualité comportant du hard rock ( dont le Paradise City des Gun's and roses ), du rock classique, du metal, du rap et aussi des musiques des précédents Burnout.
Burnout : Paradise est clairement l'épisode qui m'a le plus régalé, de part sa liberté de tracer à droite et à gauche, ses graphismes excellents ( nickel sur Xbox One ), sa carte vaste, sa variété de bagnoles et sa bande-son de ouf, ce qui est dommage en revanche est que les rosbifs de Criterion Games ait totalement arrêté de taffer sur d'autres épisodes mais qui sait, peut-être qu'ils vont refaire criser les pneux à l'intérieur de nos consoles...