Grand fan de la série popcorn sur GameCube, de Need for Speed à l’occasion, mais plutôt pilote de simulations plus exigeantes en général, j’étais passé à côté des clous jusqu’à présent du titre référence de la série pour certains. Titre qui me semble avoir bénéficié de la gratuité sur Origin en des temps anciens.
Sans concurrence sérieuse sur ce qui roule et qui se rapproche d’une certaine réalité j’ai donc pris le baquet à l’occasion, et en occasion, de sa ressortie sur Switch.
Un travail exemplaire techniquement il faut l’avouer et la multitude des épreuves, tant de courses que de des photos et sauts, raccourcis ou objectifs divers à dégrader aura certainement raison de moi :) Les courses diversifiée accentuent un dynamisme déjà présent par la variété des véhicules qui ont quelques différences de conduite… sans pour autant rapprocher d’une simulation qu’on se le dise. C’est de l’arcade il faut avoir un affect pour en apprécier la nervosité. C’est pour ces aspects que j’ai aimé arpenter en long en large et en travers routes, rues et sentiers de Paradise City… jusqu’à l’exaspération des ralentis.
Ralentis qui font la force du soft certes… même s’ils finissent par user au bout 200eme crash on se prend à regarder se former les dégâts et apprécier les petites animations d’entrée en casse, ateliers de peinture et station-service. L’usure vient ! A compter de 40% du jeu j’ai senti piquer l’irritation lorsqu’en ces ralentis commençait à apparaitre une possession de mon véhicule !!! Il tire à droite systématiquement durant ces animations… sans conséquence en liberté ce point devient problématique et contrariant en course… surtout en takedown (principe d’envoyer N concurrent dans le décor en un certain temps). Même en se contentant des autres types on fini par se fatiguer de subir ce désagrément et ce qui faisait le dynamisme, le sel de la berline fini par choir sur le bitume !
Un volant à prendre soit… mais à moindre coût certainement et en se cramponnant au volant pour qu’une mise à jour soit opérée sur ce point.