La finalité, bien brute de pomme, nous rappelle finalement le parti-pris : nous ne sommes pas ici pour découvrir une histoire, c'est davantage une expérience de devoir incarner un protagoniste que l'on a toujours considéré comme un nemesis dans 95% des jeux. Le tout, avec toutes les particularités que cela incombe, quitte à nous retirer un peu de notre confort lié à notre intelligence humaine, afin de paraître autrement plus cohérent et immersif. Et aussi monstrueux et dégoûtant semble être Carrion dans son concept, on y passe un moment on ne peut plus plaisant et, d'une certaine manière, marquant. Quand bien même la durée de vie soit courte et la rejouabilité s'avère tout aussi limitée.
La critique entière figure sur Archaic, n'hésitez pas à aller y faire un tour !