Les rpg font souvent la part belle à l'enfance et aux contes de fées.
Prophéties, magie et créatures fantastiques y sont souvent liés
Sur cet aspect là Child of light n'a point innové.
Néanmoins son parti pris graphique saura vous transporter
et ses paysages vous combler.
Si à son ambiance éthérée vous adhérez.
Une chose frappe déjà quand vous le commencez.
L'ensemble des dialogues semblent rimer.
Alors certes j'en entend certain pinailler,
Car ce sont des rimes plates que vous lirez.
Mais le travail dû être compliqué
Pour cohérence garder dans ce conte rimé.
Finalement après quelques minutes on se retrouve lâché,
Dans un environnement gracieux et léger.
Une forêt tout ce qu'il y a de plus sacré, si ce n'était cette noirceur qui luisait.
Les mécaniques de jeu sont simples et efficaces.
On avance dans un univers à deux dimensions,
un bouton servant à sauter, l'autre à faire des actions.
Et la croix à déplacer votre légère carcasse..
Le second stick quand à lui
A contrôler la luciole est réduit.
Mais celle ci devient vite utile
Pour éblouir les ennemis ou activer des mécanismes futiles. ( Non sérieux faut arrêter de mettre des portes pour mettre des portes.)
Pas de combat aléatoire dans ce jeu.
Les ennemis errent sur le terrain
Et sur vous se jettent pour faire festin
Car vous n'êtes que proie à leur yeux. ( En même temps une gamine de 7 ans avec une épée c'est pas très effrayant.)
Les combats reprennent le concept e l'atb
Si chère aux vieux final fantasy ces jeux si bien aimés
Mais le nouveau né d'ubi y apporte quelques subtilités
Tout d'abord une fois que votre personnage peut agir
il faut bien regarder les ennemis sévir
Sur la jauge en effet chaque action doit se charger
Et si par malheur un monstre venez à vous frapper
Pendant ce lap de temps serré
Votre action se verrait annulée !
Et vous reculerez de la moitié de la jauge d'atb !
Ce principe marchant dans les deux sens
il est possible d'enchaîner sans pitié les monstruosités
ou de se faire mollement massacrer.
Oui mollement, car comme tout conte de fée
child of light n'est pas très difficile à terminer.
Les amateurs de challenge seront priés
du mode difficile d'abuser.
Mais cette facilité fait sens.
Pour se laisser porter par ses sens.
Pour en terminer avec le système de combat,
Votre luciole ici aussi vous aidera
Elle peut intérargir en temps réel durant le combat.
Eblouissant les ennemis elle les ralentira
Et en vous illuminant elle vous soignera
.
Les combats se déroulent avec deux combattants,
Néanmoins dès qu'un de votre personnage agit vous pouvez switcher instantanément
Pour un combattant plus adapté
Ce qui peu aussi vous permettre de les sauver !
Et des personnages ils sont nombreux à récupérer !
Le jeu ils aident à rythmer.
Aurora elle même, princesse déterminée
Loin des guimauves de Disney
Saurer guider cette aventure.
On pourra ensuite citer
Le croisement improbable de deux personnages singuliers.
Gimli et Gandalf dans Finn le nain sorcier
Qui grâce à sa pipe en bois déchaîne flots, feu et éclairs meurtriers.
Viens après Robert la « souris de wall street »
Qui saura vous combler de ses analyses du marché
Et qui souhaite tout acheter
Même le cœur de sa dulciné.
Et ils sont nombreux encore,
Mais je vous laisse les découvrir
Loin des clichés des jrpg
Pas d'héroïne stupide
Ou de héros trop bien coiffé.
Chaque personnage est de plus particulier.
Dans leur panel de capacité
Un arbre à trois branche vous pourrez développer
Pour à votre goût les spécialiser.
Aurora la princesse,
Attaquante physique ou magique pourra être
( Mais la magie c'est mieux, parce que j'aime la magie.)
Dans l'ensemble de votre communauté
archer, mage de soutien, tank et dps vous trouverez
Et même une fiéffée trai...
Mais arrêtons nous là, je ne voudrai pas spoiler.
Mais malgré tout ce système de combat
Child of light est plutôt à contempler.
Et son ambiance éthérée,
et ses musiques aux tons léger,
vous aiderons à l'apprécier.
Et à vous déconcentrer,
Et dans les piques vous finirez.
Pour parler des musiques,
J'ai trouvé Gamekult inique
Loin de me faire dormir
Elles m'ont aidé à tenir.
Elles sont légères et secrètes
Ne s'entonnent pas à tu tête.
Mais elles ont leur caractères.
Prenons par exemple les thèmes de combats !
Dynamique et efficaces ils sont, j''en fait foi.
Pourtant ils ne cassent pas l'harmonie du tableau.
Et à l'harmonie ils apportent leur lot.
Bref Child of light est un bien beau tableau.
Mais parfait il n'est point.
Rapide il se termine
Et laisse un peu sur sa faim.
De plus les personnages ont peu d'actions
deux trois capacités, c'est pas folichon.
Mais ils sont suffisamment nombreux
donc on ne se plaint pas trop d'eux.
Et en dernier mais non des moindres,
les rimes gênent un peu l'histoire
Empêchent parfois de bien saisir certains déboires.
Mais cela non plus n'est pas trop à plaindre.
Alors laissez vous tenter.
Le jeu d'ubi vous fera voyager.
Une pause légère il saura vous proposer
à défaut de l'épique que les jeux AAA semblent vouloir imposer.
En espérant ne pas trop vous avoir fait chier,
Avec mes rimes un peu forcées.
