En jouant à Beyond Earth, certains joueurs découvriront un 4X intéressant, ceux connaissant la série Civilization trouveront un air de famille indéniable avec le hit de Sid Meier et les anciens comme moi reconnaîtront bien sûr, une nouvelle mouture du mémorable Alpha Centauri. Quoi qu’il en soit, ce jeu de stratégie au tour par tour est à mon avis très réussi. Explorer une nouvelle planète et combattre les factions adverses est très addictif. Les quêtes disponibles au cours de la partie et la beauté des paysages ajoutent une dose d’intérêt supplémentaire et comme beaucoup de titres de Sid, une fois la partie commencée, vous ne vous arrêterez plus !
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Tour par tour
Créée
le 29 janv. 2018
Critique lue 131 fois
D'autres avis sur Civilization: Beyond Earth
Quand j'étais plus jeune, je cultivais une espèce de facination pour les jeux de stratégie. Bien que j'y ai très peu joué, j'avais décrété que c'était un genre de jeu qui me convenait, mais je me...
Par
le 25 nov. 2017
7 j'aime
2
A l’époque où je jouais à Alpha Centauri, ce qui me plaisait c’était l’univers qu’il y avait derrière : Que voulait dire les technologies, la transcendance, les doctrines des factions… C’était un jeu...
Par
le 28 oct. 2014
6 j'aime
2
Privée de ses ressources et malmenée par la folie incessante de l'Homme, la Terre se meurt à petit feu. Le dernier espoir pour l'humanité à l'agonie s'incarne dans la conquête spatiale. Les vieux...
Par
le 26 déc. 2014
6 j'aime
8
Du même critique
Une parfaite évocation de la société anglaise des années trente avec les aristocrates d'un coté et les serviteurs de l'autre. Un monde fascinant fait d'hypocrisie, de mensonge et d'apparence. Alors...
Par
le 26 juil. 2011
20 j'aime
3
Encore une BD que je n'avais pas franchement envie de lire. Un sujet lourd et tellement exploité que malheureusement j'ai l'impression qu'on en a fait depuis longtemps le tour et qu'à part le devoir...
Par
le 17 juin 2012
12 j'aime
Un cow-boy solitaire débarque dans un bled perdu ou comme par hasard, les pauvres prospecteurs se font voler leurs concessions par un gros méchant. Alors le gentil cow-boy solitaire (même pas peur)...
Par
le 25 févr. 2011
11 j'aime
