(Snif, snif). Mes narines sont dirigées plein sud en direction du mont Indétron et je peux vous dire que ça refoule du goulot. Mais qu’est ce qu’il y a derrière cette montagne ? Un ventilateur à merde ?


Bref, je suis descendu des montagnes, moi, Clinton East, petit courrier de Las Vegas pour m’insérer lentement dans la société de Seattle. Fallout est un jeu trop politiquement incorrect alors j’ai fait en sorte de passer de l’autre côté.
J’ai donc ouvert un café ! Un café ! J’ai bien dit un café ! Vous êtes durs d’oreille ou quoi ? Hélas, j’ai des problèmes de vues, vous voyez. Parfois, des clients se ramenaient ! Et je les reconnaissais qu’à leur arrivée sur la chaise ! Etrange symptôme.
Bref, cher lecteur. Vous voulez un café ? Je vous en sers un. Quoi ? Une critique ? On fait pas ça dans le coin. Trop négatif pour mes éclaireurs. Moi, j’apporte des conseils au plus offrant. De jolis conseils qui ne blessent personne.
Mais je ne sais pas ce qu’il a mon café, c’est une sacrée épidémie. Chaque jour, des gens viennent commander quelque chose et personne ne paye. Et dire que j’économise pour une opération de la vue. Au début, je n’ai pas compris alors j’ai décidé de fausser leurs commandes. Mais ils reviennent toujours ! Et le pire, c’est que ce sont des bavards ! Ils parlent, parlent et ne finissent jamais leurs tasses !
Alors, après, j’ai oublié que j’étais dans un jeu de gauchiste. L’argent n’existe pas (enfin, seulement dans les poches des bourgeois, les méchants bourgeois, pas les bons), la seule monnaie courante dans ce monde, ce sont les bons points sur la carte du communisme. Je me casse le cul pour nourrir les autres et moi-même. Bon, ok, mes clients sont tous des artiste/mannequin/touriste/infirmier/écrivain/développeur de jeux-vidéo/chanteur/photographe/et policier. Ils devraient pouvoir se payer assez de cafés pour nourrir trente pays africains. A vrai dire, je me marre un peu car ce panel de visiteurs tape vraiment dans la diversité de gauche. Tous ont des métiers liés à la culture, quelle diversité ! Et le secteur primaire ? Et le secondaire ? Je demande à ce que des éboueurs viennent à mon café ! Je veux parler de choses normales, voir des prolétaires gratter des tickets de loto sur le comptoir, se battre pour savoir qui c’est qui a payé le plus d’impôts.
Et quelle diversité ? Toute l'équipe du jeu porte des noms abracadabrants. Diversité des ethnies (WOW !), hélas, où est la diversité des idées originales ? (OH !)
Non au lieu de ça, j’ai… ces choses… Elles s'excitent de plus en plus à chaque fois qu'ils viennent, la faute peut-être à un régime carabinée en café ! Ah les voilà. Ils arrivent. Tel un fléau. Je vous laisse, lecteur, je vais essayer de calmer la situation. D’engager des pourparlers pour qu’ils nous foutent la paix.


« Papa, tu ne me comprends pas ! »
« Moi aussi, je ne te comprends pas ! C’est pour ça que je te suis partout, c’est que je ne comprends pas ce que je fais. »
Clinton East : « A vrai dire, je ne comprends pas ce que vous dites. Pouvez-vous commander un café au lieu de parler ? Je ne suis pas milliardaire. »
« Je voudrais une boisson avec du café, du gingembre et le tout un peu frais. »
Clinton : Pardon ? Vous voulez un café alors ? Je vous ai compris, c’est juste qu’on ne m’apprend pas à répondre à des commandes aussi débiles.
« Pouvez-vous lyophiliser des grains d’atome caféinés torréfiés dans de l’eau filtrée ? »
Mode facile activé. Ouverture d’une page google.
« Lait, menthe, citron. »
"Et pas de paille ! Attention ! Savez-vous que la paille (clin d'oeil) est un élément plastique, source de pollution marine et néfastes pour la vie animale, les pailles en plastique à usage unique mettent entre 100 et 1000 ans avant de se désagréger. Attention ! Mais bon, cela n'arrive que dans notre monde de féerie et pas ailleurs. (clin d'oeil)
Clinton : Ah d’accord. Vous ne pouvez pas choisir ce qu’il y a sur la carte au lieu d’inventer des produits ? Et arrêtez de faire la morale aux joueurs ! Quel courage de faire cette morale aujourd'hui quand un prolétaire sera démuni de sa boisson au MacDo, car cette dernière se sera répandue sur le sol sans matière plastique pour le contenir. Allez, prochaine étape, demandez aux africains d'arrêter de jeter la moitié de leurs déchets dans l'eau. (Clin d'oeil, clin d'oeil )
« Oh tout de suite ! Je ne suis pas une commande ! Je suis une personne libre ! »
Clinton : Et pour la dame ? Avant que vous vous relanciez dans votre incroyable conversation qui ne manquerait pas d’endormir plus d’un joueur. Et aussi, je rappelle que j’ai une carte ici, vous pouvez commander un cappuccino, un espresso, un Réveil Capétien, un…
« Je veux un Aigreur des Mexicains doux. »
Clinton : Alors, vous avez décidé de me faire chier ou quoi ?
"Ou un Sahara Japonais en Floride."
Ouverture d’une page google.
Clinton (en aparté) : Putain, ce n’est pas compliqué de dire : Lait, café, Lait. Eh merde, je me suis raté.
(Jette le café)
- Au loin, le petit Quechua, péruvien de saison, du haut de son arbre, se mit à pleurer sans aucune raison. C’est lui qui avait cueilli le café que Clinton a rejeté comme un malpropre dans la poubelle. Las de vivre sa vie, le petit Quechua se pendit à l’arbre à cause de cet occidentaux mal élevé. Plus tard, des enterrements prirent place dans le village. Tout le monde était là, même Mexicano Stevenso, le pompiste Pemex du village de Tepache. Renvoyé de son village par Trump, il était toujours triste. Trump était tellement vilain qu’il fut même renvoyé du Mexique. Il ne trouve aucune place pour manger ses fécalents. La concession funéraire a tellement ému le pays, que Coca Cola a arrêté de pomper l’eau des montagnes péruviennes. Comme quoi un petit sacrifice, vaut bien un grand sacrifice (et je ne parle pas du suicide).
Clinton : Eh merde de flûte, j’ai encore raté.
(jette le café)
-Bon, là je ne peux rien faire. Je n’ai plus d’imagination. On va dire que le café jeté aurait pu trouver un remède contre le cancer. Il y a de quoi en pleurer.
Clinton : Voilà votre ca...café.
« Avez-vous mis les ingrédients dans l’ordre suivant au moins ? Lait, Lait, café ? »
Clinton : Et puis merde !
« Car ce n’est pas ce que j’ai commandé. »
Clinton : Vous avez qu’à être plus claire. C’est moi qui sait faire des cafés où pas ?
« Non, je n’ai pas envie d’être chiante, mais je dis ça, je ne dis rien, sans mauvaise pensée. Vous êtes un mauvais barista, je pourrai cracher dans votre café. Mais en toute sympathie. Si vous m'aviez servi un bon café, j'aurai pu me réconcilier avec mon père car vous m'auriez remonté de bons souvenirs !»
Clinton : Bon, je vous en fait à nouveau. C'est moi qui paye tout de toutes façons.
« Non, c’est bon. Je peux le boire. »
Clinton : Bon, vous savez, vous pouvez rentrer chez vous. Avoir un emploi à plein temps, je sais pas moi mais arrêtez de crécher ici !
« Bon, où en étions-nous ma fille ? »
« Je crois qu’on ne s’était pas compris. »
« Ah oui ! (raclement de gorge) Comprendrais-je ma fille un jour ? O désespoir ! Laryngite aigue ! Je sens mon poitrail se soulever, serais-je atteint d’une embolie cérébrale car je n’ai pas compris ma fille ?
« Oh non ! O Hamlet ! Que crois-tu faire par terre ? La réponse à mes questions ne s’y trouve pas. Je ne comprends pas mon père ! ô ! Comme les relations humaines sont compliquées ! Oh ! Peut-être que venir boire un café dans un café, m’aidera à comprendre mon père ! Qu’en pensez-vous frère d’armes barista à cette question épineuse, cornélienne et casse bonbon ? »
Clinton : Euh… Je serai d’avis que vous payez votre ardoise qui se trouve à votre gauche.
« Oh oui, chérie, nous devons payer notre ardoise mais d’abord, votons à gauche ! Un Joe Biden tout chaud, tu as mon vote ! Je sens ma tête palpiter à nouveau dans mon torse. Comment vous remercier ? Vous nous avez sauvé la vie, ma fille et moi ! Maintenant que nous avons discuté, nous nous sommes enfin compris ! »
« Et moi, regardez-moi. Je sors à nouveau avec ma petite copine grâce à ce barista. Il nous a dit qu’il fallait qu’on parle franchement nos émotions et on l’a fait. Spoiler alert : ça marche ! A l'avenir, pensez que les différentes races ne veulent rien dire. Nous sommes tous différents de par nos caractéristiques féeriques, mais venez comme vous êtes ! »
"Tu penses que dans un monde alternatif (clin d'oeil de clin d'oeil), sans race féerique, (clin d'oeil, clin d'oeil) les terriens s'entendraient à merveille ?"
"Non, ma chère succube, il n'en est rien. Peut-être que la couleur de peau est un facteur de différence qui divise les gens. Mais je n'en sais rien. (CLIN D'OEIL)"
« Et moi. Loup-garou de profession. »
(Toute l’assemblée) « Bonjour Loup-garou de profession… »
« …J’étais juste venu pour trouver une boisson qui m’irait. Et au final, je l’ai trouvé, ce qui m’a permis de sortir avec un vampire et de vaincre ma lycanthropie. Bon même si au début, la boisson n'était pas très efficace car je me suis transformé quand même. »
Clinton : Hein ?
« Et moi, j’étais venu pour un simple café, écrire dans mon coin mes histoires. Et voilà que j’ai été nommé ambassadrice de la paix par l’ONU ! Vous y croyez-vous ? »
Clinton : Moi, j’y crois pas du tout. Je t’ai juste conseillé de me foutre la paix.
« Le génie a parlé ! Rejoindre le conseil de la paix à l’ONU. Quelle brillante idée. »
« Oh ! J’ai retrouvé mes clés ! C’est grâce à ce café ! J’étais tellement excité à force d’en boire, qu’avec mes sursauts énergiques, je les ai fait tomber par terre. C’est ainsi que je les ai retrouvés ! Grâce au bruit qu'elles ont fait en tombant. Si je n’avais pas bu de café, je ne les aurais pas perdus, mais je ne les aurais pas retrouvés non plus ! »
"Et moi, policier de profession non fasciste, je suis la minorité raciale. Je n'ai aucun arc me concernant, je sers strictement rien à l'histoire."
« Que quelqu’un ramène un cierge. J’ai envie de lancer un culte. »
« J’ai de l’argent à revendre. Donnons-le à la maîtresse du culte Freya ! »
Clinton : Mais passez-moi cet argent ! Les taxes me tuent à petit feu !
« Non ! Nous ne pouvons donner de l’argent au dieu en personne car ce dernier est mort ! Le dieu est mort ! Vive le dieu ! Il voyage dans le temps et voit nos péchés. »
Clinton : Bon, monsieur le policier, faites quelque chose ! Ils deviennent fous !
« Un policier ? Dans le saint des saints ? Etes-vous gaucher monsieur ? »
« Non droitier. »
« Oh ! Il est de droite ! D’après le sacrement de Clinton East, verset 12. Tout le monde doit voter à gauche ! Qu’on lui coupe la tête ! »
« Mais je porte ma tasse de la main gauche ! »
« Loup-garou, fait ton boulot. »
« Attendez, les gars ! On peut s’entendre ! Je suis peut-être un flic mais je suis black ! Donc ça va ! Je ne peux pas tuer des blacks, c’est logique, non ? »
« Est-ce que tu as tué plein de blancs, blancs comme nous ? »
« Oui ! J’en ai tué des dizaines. Je ne les aime pas ! Ils sont trop blancs comme le lait et je suis intolérant au lactose ! Vous me laissez partir ? »
« Hum. Je suis mitigé. »
« Qu’est ce que veut dire ce mot ? »
« Cela veut dire que j’ai pas compris. »
« Ah. »
« Si tu es black, pourquoi tu es policier ? »
« Euh… »
« Et tous les flics, tuent des noirs, c’est bien connu. Alors ? Défends-toi ! »
« Je sais ! J’ai compris ! J’ai vu une vidéo de Biden qui explique tout ! »
« Quand on est black et flic, on est pas black ! »
« A vos griffes, brique de lait de soja, et pied de table, nous avons un intrus à éliminer. Attention, il est peut-être seul contre 7 gars mais il pourrait nous tuer. »
Clinton : Non, s’il vous plaît. C’est juste un café. »
(Après un massacre particulièrement pacifique.)
« Un supporter de Trump en moins. Les gars, continuons à colporter le mot ! Tout Seattle doit le savoir ! »
« Fondons notre propre démocratie ! »
Clinton : (Tousse)
« C’est ça ! Coughee Talk ! »
« Les autres, ils veulent appeler leur démocratie, La démocratie populaire de Chaz. »
« Bon, on sera voisins alors. On jouera à la balle aux prisonniers. Ils libéreront peut-être ainsi les nombreux blacks qui se trouvent en prison. »
« Une manifestation se prépare dans le coin, les gars ! J’ai ramené les panneaux publicitaires pour la sauce soja. Et aussi, les jeux de mots pourris du genre « Trump se prend une rampe ! » ou « You’re fired ! » ahah ! ça nous a pris une heure, en comptant la pause. »
« Avez-vous pensé à amener les masques ? »
« Ah merde. Non. Mais de toutes façons, Clinton East, notre dieu à tous, ne portait pas de masque quand il dormait. Et puis, si on meurt du coronavirus, c’est à cause de Trump. »
« Tu as raison. On va montrer qu’on est plus fort que le virus car on l’a compris et lui nous comprendra pas ! »
« C’est parti les gars ! Préparez vos slogans ! »
« On nous a compris ! On vous a compris ! Vous ne nous avez pas compris ! On recommence ! On nous a compris ! On vous a compris ! Vous ne nous avez pas compris ! »
Clinton : Ah Neil. Tu me fais plaisir. Tu es resté avec moi.
« Oh ! Dieu m’a parlé ! Je l’ai entendu alors qu’il est mort ! Je vais en informer mes confrères extra-terrestres. Il faut tout détruire, piller les magasins, déboulonner les statues ! C’est comme ça qu’on arrivera à ressusciter les morts ! C’est écrit dans le livre de nécromancie de Clinton East ! »
Clinton : Et mais c’est mon tableau de commandes !
« Suivez les 23 commandements de Clinton East ! Suivez-les ou mourez ! Vous voulez détruire ce café chers manifestants ? C’est celui de mon dieu. Vous pouvez y aller. Il s’y trouve une statue de notre dieu à déboulonner. »
"Avant de commencer à casser, je voudrai un BLM Club, un King Royale et un McFloyd. Merci.
Clinton : Vous voyez, c’est tous les jours comme ça. Enfin, là, j’ai l’impression que c’est encore pire que d’habitude. Eh ! Laissez ses vitres tranquilles ! Votre père absent n'est pas vitrier à ce que je sache ?
(Clinton jette un torchon)
« Oh mon dieu, Breonna Taylor est morte ! Mes confrères ! Un autre frère d’armes est tombé au combat ! Cela prolonge notre combat de quelques mois supplémentaires. Continuons un peu et on aura peut-être un autre martyr qui nous refilera une année cette fois-ci ! »
Clinton : Putain ! La dernière fois que j’ai ouvert un café à Los Angeles en 94, c’était juste avant les manifestations avec Rodney King. Je joue de malchance. Ah monsieur, ça va ? Ne me dites pas cher lecteur que vous avez le coronavirus… Si ? Bon, je peux fermer boutique alors. Je n’ai plus de clients. Adieu ma diversité, bonjour la mortalité.


Fin alternative après avoir rejoué des jours aléatoires, eh oui, ces jours qui vont changer la face du monde car vous avez préparé le bon café... :
???? = Bonjour, je suis un étranger inconnu venue d'un endroit bizarre. J'ai l'air mystérieux et je sers à soulever des énigmes sur les fanblogs.
Clinton : AAHH ! Encore un échappé d'un Yaoi !
???? = Je suis venu vous dire que le jeu n'est pas terminé. Eh oui, il fourmille de détails. Les développeurs derrière ce manga... enfin, ce jeu, proviennent d'une diversité de cultures.
Clinton : C'est pas ce que je dirai pour les idées...
???? = Bref, maintenant, vous avez le droit à refaire le jeu pour rien. Servir les bons cafés et débloquer les fins...
Clinton : Alors quoi ? Je sers pas le bon café et les clients n'ont pas une bonne fin ?



  • Aujourd'hui, Siegfried était parti pour prendre un repas entier dans une boulangerie Sicard. Mais malheureusement pour lui, on avait oublié quelque chose dans sa commande. Ses frites, son cookie, et sa boisson. Heureusement, il y avait toujours le sandwich et les serviettes. Néanmoins, si la commande avait été mieux pensé, Siegfried ne se serait pas interrompu sur le chemin pour regarder le sac et jurer au ciel. Il aurait continué son chemin et serait tombé sur une fille qui correspond parfaitement à ses plus gros fantasmes, puis, il serait sorti avec elle. Après ça, il aurait arrêté d'écrire des critiques chargées en ail que personne ne lit et qui provoque des explosions de bombe P partout sur la planète. Il aurait trois enfants - quatre si dans la commande se trouvait un cookie supplémentaire -, une maison sublime. Et un jour, il aurait joué à Coffee Talk et l'aurait apprécié (Incroyable !), mais en jetant un café dans la poubelle, un autre effet papillon aurait tué un péruvien. Mexicano Stevenso serait venu en France pour se venger mais il se serait trompé de cible et aurait tué Franck Dubosc, pas le vrai, celui qui a joué dans le clip de Mylène Farmer. Eh là, Gérard Depardieu déciderait de jouer le morceau disco Here Comes The Night des Beach Boys au piano pour empêcher d'autres meurtres de célébrités françaises mais il savait pas que ce n'était pas Franck Dubosc. (Vous voulez que je continue ? Ok. Parce qu'après, ça part encore plus loin, mais je sais pas pourquoi je continue car ce n'est pas vraiment drôle.) Bref, c'est pas important car Gérard a réveillé un génie contenu dans le piano. Un génie qui exauce les vœux des soûlins, ça tombe bien ! Oubliant Dubosc en étant bourré, il souhaite une suite à Bimboland mais le film est un tel navet qu'une météorite s'écrase sur des féministes. Et là, Plot Twist mais il semblerait que Siegfried faisait partie de ces féministes car il a adoré le livre d'Harmange. Il meurt sans laisser de suite à cette criti...
    ???? = Oui, c'est ça. Concept innovant ! Mais vous pouvez aussi tester de faire le mode infini comme dans tout jeux japonais moisis. Un mode infini qui vous occupera jusqu'à votre mort !
    Clinton : Cool ! Bon vous prendrez un café ?
    ???? = Un Patrick Sébastien à la chantilly. C'est cool de votre part de refaire le jeu, vous allez découvrir des choses épatantes. Et est-ce que j'ai dit qu'il y avait des succès à la clé ? Cela va être sacrément dur pour tous les faire.
    Clinton : https://www.trueachievements.com/game/Coffee-Talk/walkthrough/2

Diegressif
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le 12 févr. 2021

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