Dead or Alive 5
6.8
Dead or Alive 5

Jeu de Team Ninja et Tecmo (2012Xbox 360)

Dead or Alive est une saga maintenant plus connu pour ses combattantes sexy que pour son système de combat. Et même sans son créateur Tomonobu Itagaki qui n'est plus aux commande rien ne change.


Chez Tecmo et la Team Ninja on garde la recette qui marche et on améliore à peine la chose sans rajouter trop de contenu.


Quelle différence avec DOA4 ? Dans les nouveautés nous avons la possibilité de casser la garde de notre adversaire et de porter des coups chargés. Ces deux ajouts multiplient les possibilités pour un gameplay beaucoup plus varié. Les arènes à plusieurs niveaux sont toujours là et maintenant on a la possibilité de se rattraper avant de tomber au niveau suivant. On reste sur le même système de combat (une touche pour les coups de poings, coup de pieds, projection et contre). Les contres, comme dans DOA4, sont toujours extrêmement difficile à placer. Par contre quand on y arrive, on est content et c'est dévastateur pour l'adversaire. Le gameplay et le système de combat de ce DoA5 est toujours aussi bon, nerveux et fluide. De toute façon les Dead or Alive on toujours était de très bon jeu de combat, c'est ce qu'il y a autour qui ne va pas.


On retrouve toujours les même mode. L'arcade, le tag qui est toujours aussi génial, le survie, le time, l'entraînement, le online et l'histoire.


Le scénario qui n'a jamais été le point fort des DOA (sauf de Dimensions) essaye d'être plus convaincant que ces prédécesseurs. Ça l'est, sauf que les nombreux chargement casse vraiment la narration et on va pas se mentir l'intrigue sert plus de didacticiel au jeu.


Les combattantes sont bien modélisées, sans que ce soit vraiment réaliste. Elles ont toujours cet aspect de poupée gonflable que je n'arrive pas à me retirer de la tête. De même pour les combattants, trop plastique. On reste sur les bases du créateur de la série avec des jambes de deux mètres et une poitrine XXL sous hélium. Le rajout de la sueur est ridicule, mais drôle. Les arènes sont un ton en dessous, mais ça ne choque pas.


Le nombre d'arène est limité, tout comme le nombre de personnage. Un roster de seulement 24 personnages. C'est très peu. On notera Ryu Hayabusa de Ninja Gaiden toujours en guest, mais cette fois accompagné de Akira Yuki, Pai Chan et Sarah Bryant de Virtua Fighter. Un beau clin d'oeil pour la licence qui a inspiré celle de DOA.


Un contenu très maigre qui se verra compléter par de nombreux DLC. Vous en aurez plus chère de DLC que du jeu en lui-même. Cette politique m'énerve au plus haut point, ils sortent des jeux non boucler. Sans compter les nombreuses réeditions qui suivre DOA5 : le Ultimate, le 5+, le Last Round. Ces quatre jeux sont tous les même et en réalité il n'y en a qu'un d'achever (celui sur One et PS4)...


Pas énormément de nouveauté dans DOA5 par rapport à son grand frère DOA4. Pas non plus de contenu satisfaisant, plutôt pauvre même. C'est d'ailleurs vous qui finirez pauvre si vous achetez tous les DLC. Je ne vous conseil ni l'achat des DLC, ni l'achat de ce jeu. Attendez la version définitive.

StevenBen
6
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le 24 avr. 2022

Critique lue 69 fois

Steven Benard

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