Deadly Premonition par Yotaku
Je juge généralement un jeu, à ce qu'il me laisse une fois le mot fin inscrit à l'écran.
Dans le cas de Deadly Premonition, c'est de la mélancolie qui m'est resté. Mélancolie de laisser Greenvale, des personnages attachant des musiques parfois horripilante mais que j'ai finis par apprécier. Une carte mal fichu dont j'avais fini par me passer connaissant chaque carrefour comme ma poche. Après 27 heures de jeu, et la plupart des 50 quêtes annexes effectués c'est comme refermé un bon bouquin et laissé ses personnages vivre au delà de l'intrigue principal.
Comme Dale Cooper tombé amoureux de Twin Peaks au point de vouloir y vivre, on se surprend à chercher une maison accueillante pourquoi pas dans le lotissement de cette bonne vieille "Roaming" Sigourney. Quoi que Polly fait un excellent café mais vivre à l'hôtel tout de même.
Vous l'aurai compris, jouer à Deadly premonition, c'est s'immerger dans un univers cohérent et attachant, un scénario bien raconté et de nombreux à coté qui marque tout autant.
Alors vous allez me dire c'est moche, le gameplay pue, je vous répondrais que si vous n'avais pas été convaincu par le début de cette critique, du moins que les qualités avancés ne vous suffise pas alors c'est que vous ne mérité pas de jouer à ce bijoux. Et bien mal vous en fait, vous passez à coté d'un des meilleurs jeux qui soit. Ceux qui te rassure sur les qualités du jeux vidéo à l'heure où les Call of Duty sorte aussi fréquemment que les Fifa...