Dear Esther, ou mon premier jeu dont le téléchargement a été plus long que le jeu en lui même. Pire encore, le gameplay se rapproche du néant : on ne peut que se déplacer en marchant, point barre. Pas de sauts, impossible de courir, aucune interaction avec le décors.
Dommage car la réalisation, l'ambiance et surtout les musiques du jeu sont très réussis. Je n'entrerai pas plus dans les détails du jeu en lui même, qui n'est rien d'autre qu'une ballade sur une île déserte.
Pourquoi donc les jeux qui se revendiquent "expérience artistique et sensorielle" méprisent ils bien trop souvent l'essence même du jeu vidéo à savoir le gameplay?
Bref, un titre bien trop cher (7€) compte tenu de ce qu'il propose.