Il y a ces pierres, là, dressées dans le vent vers un ciel superbe.
Il y a une voix aussi. Sibylline. Et surtout une musique. Magnifique.
Avancer lentement vers ce point lumineux. Regarder. Ressentir. Rien de plus.
Il y a des épaves sur le sable. Qui ? Quand ? Comment ?
Il y a au loin une silhouette que j'observe. Non. Elle m'observe.
Le cœur se gonfle ; ne demandez pas pourquoi.
Il y a une grotte. Ombres et lumières éblouissantes.
Il y a toujours cette musique. Déchirante.
Puis les larmes des stalactites. Pas uniquement.
Il y a la nuit et un objectif qui se rapproche.
Il y a une histoire qui s'illumine ; sans faire d'ombre aux autres.
Enfin quoi ? La libération.
Il y a osmose de l'image, du son et de la narration.
Il y a l'émotion. Cette rareté touchée ici avec presque rien.
Perfection.
Chère Esther,
Merci pour la balade...
http://www.youtube.com/watch?v=rjMCqjDOvRQ