La Mort à l’éther, le Maître déporte et le Corvidé châtie.

Sans aller à "prier le soleil", d’Aucuns l’auront affublé d’ascendance Souls par quelques biais devenus artefacts "FROM…"; Mais, sans aller jusqu’à défricher les hautes frondaisons, force sera de constater qu’il tiendra son genre plus d’une maternité en Irule, de part son gameplay général ainsi que de ses atours récurrents inhérents à la série… D’un classique arc, à quelques "Hadouken" ou "Notre maitre le grapiiiin" il n’y aura qu’un "Yogaflame" pour en exprimer une "subtile" dissemblance.

Simple de prise en main, il ne faudra que peu s’exposer au péril pour survoler les épreuves… surtout si l'on s'essaie à l’acquisition des améliorations de l’équipement et à la découverte d’âmes afin d'améliorer les statistiques. Ainsi, la quête n'en sera que plus aisée et, face à de rares plus colossales rencontres belliqueuses, outre une nécessaire appréhension des paterns, il n'en sera que formalité et l'aventure sera plus arpentage méticuleux des terres… ternes et désolées dans lesquelles il nous est contraint de déambuler.

L’heureux volatil trouvera un Salut non pas dans la révolution d’un genre vidéoludique mais plutot dans une narration disséminée au gré de notre périple. Livrant la vérité d’un monde pour lequel le destin et les portes auront été scellés… et les congénères exilés. Ce pour peu que l’on se donne les moyens de poursuivre le reste de l’aventure en post générique ;)

En somme, une aventure qui perd des plumes à s’être faite l’écho, malgré elle, d’un genre qui la dépasse mais qui sait rester perchée sur le juchoir d’une plus classique et plus humblement accessible.