"Tu vas voir ce jeu c'est ouf, très perturbant, tu te poses plein de questions, avec un fond psychologique qui donne des nausées". Effectivement j'aurais pu vomir d'ennui si cela était possible, Hélas la seule question que je me suis posé fut "Pourquoi tant d'engouement ?"
Le principe du "jeu" : lire des textes ennuyeux, faire des choix de mots pour créer de stupides poèmes et enfin lire ces poèmes avec des sens cachés pour se sentir super intelligent ou super con si on a pas compris ou qu'on s'en fout. Moi perso je m'en foutais.
J'ai joué 3h jusqu'à la fin (de la première partie) en espérant voir le supplice s'arrêter, il n'en est rien, le "jeu" recommence avec les mêmes dialogues plats, destinés à mettre l'eau à la bouche à des ados mal dans leur peau.
Ce n'est plus un jeu, c'est du porno soft pour japonais. Mais nous, le porno, on le trouve à n'importe quel clic sur internet et c'est plus explicite, plus intéressant et on y passe pas 3 heures.
Pour ceux qui ne savent pas, il existe des sites d'histoires érotiques, vous en trouverez sur tous les sujets dont le principal abordé dans ce faux jeu : les très jeunes écolières naïves et un peu désespérées. A moins que de jeunes filles vêtues d'habits d'écolières vous excitent et/ou que vous soyez vous-même désespérés, passez votre chemin !
Comment cette daube a t-elle pu prendre une telle ampleur ? Peut-être que des scientifiques et psychologues se pencheront à l'avenir sur ces visual novels, bon courage à eux.
Cristallisant l'emballement de certains onanistes pour un genre de divertissement appauvri, Doki Doki marque peut-être l'arrivée d'un nouveau passe-temps érotico-virtuel mais ça n'est pas pour autant un "jeu vidéo".