La recette pour devenir accro à Dota2:
- 2 mois de chômage partiel pendant le confinement.
- 1 femme Bielorusse qui se dit tiens je vais rejouer à Dota (jeux quel joué plus jeune avec ses potes)
- moi qui me dit: tiens ça allait cool je vais l’essayer avec toi
Voilà après des heures à se faire massacrer et insulter, à lancer des partit en total stress en sachant que ça allait mal se finir et après des heures de tuto et lecture me voilà à ma place. Pos 5 hard support en duo avec ma femme pos 1 ou pos 4 support roaming toujours en duo avec ma femme pos 3.
Me voilà à rager à chaque partit parce que personne ne look la map alors que j’ai warder partout, à rager parce qu’on m’a piqué la place de support pos5 mais y a jamais de ward…
À rager quand je suis pas sur un serveur russe/Europe de l’Est parce que les Européens ont un niveau a chier et trash talk plus qu’il ne joue. Joue au lieu de mater l’inventaire de tes mates tout les 3 sec et critiquer. Et bien sur en Europe fidèle à eux même a toujours à reporter leur incompétence sur les autres çà critique les russophones à chaque fois qu’il se font massacrer.
Mais Dota reste un jeu à la marge de progression addictive, un jeu old school qui demande de la patience et de la perseverance pour être pris en main et ça ça manque dans l’univers vidéo ludique actuel.
Après un gros défaut qui vient entacher le jeu c’est le matchmaking qui souvent vous fait tomber sur des teams de mecs plus expérimentés en face qui vous roulent dessus en 30sec sans possibilité d’abandonner. Et pire parfois un seul joueur bien trop expérimenté peut atterrir dans un côté comme dans l’autre et faire le match en solo sans intérêt pour les 9 autres.