Dragon Age: Origins
7.4
Dragon Age: Origins

Jeu de BioWare et Electronic Arts (2009PC)

Puissen chevalier, puissen mage !

Je commence tout juste. La Cérémonie est passée - ce fut un peu laborieux en quantité de lecture - et les choses sérieuses commencent. Que c'est bon !

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20e heure de jeu :

cruelle erreur d'appréciation dans la priorisation de mes quêtes. Je suis paumé dans une forêt magique, loup-garous à mes trousses. Je compte mes potions de soins, dilapide ma fortune en onguents et matières premières, relance sans arrêt mes sauvegardes pour passer les patrouilles trolls et laisse derrière moi des tonnes de coffres incrochetables.
Le mid-boss fut long, laborieux. L'échelle de niveau m'a eu. Mauvais routage.

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25e heure de jeu :

je me balade au sein du Cercle des Mages. Episodes qui ont tendance à m'angoisser de peur de retrouver sans cesse des clichés scénaristiques.

Il n'en est rien.
Je prends mon pied.

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30e heure de jeu :

je tiens à souligner un élément majeur de mon appréciation croissante de ce jeu : les inspirations Earthdawn de l'univers me plaisent énormément. Je répète : énormément.

Vient l'envie de ne rien louper du codex.

Vient l'envie de ne rien louper du codex.

Quitte à relire 2 fois.

J'adore !

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35e heure de jeu : à moi les Tréfonds. L'inspiration Earthdawn est toujours là. Le cadre est somptueux tant qu'on ne traverse pas trop de couloirs, les plafonds sont hauts et les lumières créent l'atmosphère. La tragédie naine à son apogée au moment où l'on doit faire un choix typique du RPG. C'est beau, mais presque pas assez grandiose.

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40e heure de jeu : Dénérim, ses ruelles piégeuses, ses auberges mal famées. Un peu de sang sur un porte et quelques cadavres dans un puits. Des religieux toujours aussi simples et des chevaliers toujours aussi hautains. Retour à Neverwinter...

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45e heure de jeu : un temple sis sur la cime d'une montagne. Des cierges éclairent les congères et font briller les souffles de neige. Le cristal glacé anéantit l'ambiance victorieuse de fin de quête - les ennemis tombent à la pelle. Ne suis-je finalement pas ce que je suis censé combattre ?

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50e heure de jeu : Un drako-sire pour le moment au-dessus de mes forces me force à un retour, la queue entre les jambes, vers Dénérim et ses complots de basse-cour. L'armée du régent est coriace et vindicative. La tache ne sera pas simple...

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55e heure de jeu : après avoir libéré une reine un peu co-conne, je me sauve des bas-cloîtres et ruine mes romances pour le bien de l'Histoire. Je mets aussi dans une loterie la paix de mon âme pour la sauvegarde du royaume. Ah oui, j'ai découvert la touche Tab T_T

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60e heure de jeu : un retour près des dragons abandonnés suivi d'une accélération des événements m'amène peu après sur le front, face aux hordes de l'Engeance. Tenir la ville face au siège n'est pas tâche facile. Escalader le donjon au milieu de brutes sanguinaires, se débarrasser des mages adverses pour enfin parvenir à la confrontation finale...

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yoffroy
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le 7 déc. 2010

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Geoffroy .

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