400 milliards, c'est le nombre de systèmes solaires que vous pouvez visiter dans Elite Dangerous; bien que ce nombre soit très impressionnant il n'a pas suffit à me tenir en haleine.
Les premières heures sur ED sont passionnantes, se docker dans une station, voir son vaisseau se faire remorquer jusque dans son hangar, améliorer sa machinerie, zyeuter avec envie les autres vaisseaux disponibles à la vente, partir à l'aventure dans des systèmes inconnus, se faire menacer par un pirate inconscient avant de le réduire en poussière et d'empocher la prime qui était sur sa tête, chercher une route commerciale exploitable en étudiant les prix des stations, explorer un système éloigné pour vendre sa cartographie, trouver un bon filon de minage, seulement ... voila on vient de faire le tour de ce que le jeu vous propose grosso modo (je n'ai pas parlé des zones de combat, de la façon dont vos activités influent sur l'économie et la politique d'un système, et de bien d'autres choses mais l'essentiel des actions du joueur se trouvent bien là).
Du coup une fois la période découverte du jeu passée et que l'on s'est offert le vaisseau de nos rêves avec toutes les améliorations qui vont avec (c'est à dire un temps de jeu assez honnête il faut l'avouer), la motivation de continuer à effectuer ces mêmes actions commence à faiblir, surtout quand le seul objectif est d'acheter un vaisseau plus gros.
Bien que vaste on finit par trouver l'univers tristement vide, mais le jeu n'en est pas encore a sa première année d’existence il y a eu et il y aura des mises à jour intéressantes pendant encore longtemps.
Ma note n'est donc pas définitive, et j'espère être agréablement surpris par la suite.
(La mise à jour PowerPlay n'est pas prise en compte dans cette critique)