Wasteland, le retour

Me voici de retour, prêt à parler du second opus de Fallout made in Bethesda Softworks. Le monde a bien évolué, nous sommes de retour pour nous tapé des bonnes petites virés dans le Wasteland, cette fois dans un Las Vegas futuriste, avec des endroits sombres et mal famés, une ambiance qui peut être aussi joyeuse qu'austère et des monstres vraiment pas accueillants , à part ce bon vieux Neil, qui nous explique toujours qu'il nous faut pas aller dans son Antre car les autres Supers Mutants sont bien moins accueillants.

C'est ainsi que la viré démarra, les péripéties s’enchainèrent au rythme des jours, la chaleur du désert me faisais parfois, euh, bah chaud, et Sometimes, il m'arrivait, malheureusement de succomber aux monstres, sauf les Rataupes avec leurs caboches toujours aussi mignonnes. De nouveaux ennemis je découvris, à travers d'autres mondes, d'autres terres, un Wasteland encore plus vaste et varié à exploré. Je me rendais bien compte que j'étais parfois un peu trop violent avec mes ennemis, d'ailleurs, certains ne me voulaient aucun mal, mais je leurs donnais du fil à retordre, je les combattais jusque les tués parfois, mais bien sur, la plupart du temps, les innocents étaient sauvés. J'étais aussi bien content quand un Griffemort ou un Spuer Mutant se faisait descendre ou bouffer par un Chien Féroce, ces viles créatures que je déteste et plutôt laides.

En ce moment, j'écris ce journal de bord, toujours à me demander si quelqu'un pourrait retrouver ces quelques notes parsemées à travers The Wasteland, cet univers qui m'est dev'nu familier et qui à de la place dans mon estime, un très bel univers, envoutant mais parfois trop déconcertant et violent pour ma personne. Néanmoins je songe à me reprendre en main après une assez grosse baisse de Karma à force de tuer un peu trop de passants ou de voler un paquet de Cake Fancy Ladies, mais je n'y résiste pas, malgré les radiations, le gout de ceux-ci est extra, délicieux. Je suis en train de me dire, à cet instant précis, que ces notes sont inutiles, je ne les ferais pas lires, les éditeurs ont disparu depuis longtemps, mais un jour qui sait peut être que notre ancien monde renaitra. Je pense que je ne suis pas seul à arpenté de façon solitaire les canyons, cratères, forets et autres déserts, j'ai même déjà eu l'occasion de faire quelque rencontre fortuite, comme ce bon vieux robot, Victor. Mon aventure n'est peut être pas passionnante, mais vaut le coup d’être lu.

Allez achetez Fallout New Vegas si c'est pas déjà fait.