Je m'étais arrêté à la tour de Kefka sur la version GBA (avec un Shadow oublié sur le continent flottant) mais cette fois-ci, j'ai mis un point d'honneur à le terminer (avec un Shadow attendu sur le continent flottant). Un total de 50 heures et demi pour effacer définitivement ce ricanement obsessionnel. Il est évident que la licence telle qu'on la connait aujourd'hui doit beaucoup à cet 6e épisode. J'estime la magie de la belle scène d'opéra un peu gâchée par la présence d'orthros, cet adversaire grotesque qui revient un peu trop souvent dans l'intrigue, mais difficile de ne pas saluer la splendide et apocalyptique seconde partie du récit, déjà bien dense depuis son début. Kefka reste toujours aussi détestable 20 ans après, et toujours aussi magnifique dans sa théâtrale et mortelle apparition divine. Un grand classique à parcourir au moins une fois dans sa vie.
Test express sur le blog.