En dépit d’une aventure un peu courte, et qui aurait bien mérité une ou deux péripéties de plus, je continue de penser à Firewatch. Pas seulement à sa direction artistique somptueuse mais aussi à ses dialogues touchants de sincérité, à ses moments de tension et à ses instants rythmés appuyés par une bande son qui fait très bien son travail.
Plus qu’un jeu, c’est avant tout une histoire et une petite expérience enrichissante, qui n’est certes pas parfaite mais qui se laissera difficilement oublier. Trois semaines se sont écoulées et je n’écris une critique que ce soir, ne sachant jusqu’ici pas trop comment aborder l’intrigue principale du titre. Et à ce sujet, je me contenterai d’affirmer qu’elle a bien eu ses effets sur moi, du prologue jusqu’à l’épilogue.