Est-ce que vous avez déjà eu envie de tout plaquer pour aller élever des Lamas au Pérou ? Moi ça m'arrive souvent. Firewatch m'a permis, le temps de quelques trop courtes heures, de réaliser ce fantasme.
A une époque où nous sommes sans cesse en train de courir dans des villes surchargées, Firewatch m'a appris à marcher en pleine nature. Paradoxe de Firewatch : un jeu vidéo qui a su me faire "déconnecter". C'est avant tout pour ça que le jeu gardera une petite place dans mon coeur. Ces ballades en forêt sur une soundtrack incroyable, c'est une expérience que je ne suis pas près d'oublier.
Firewatch c'est également deux personnages touchants, et une introduction m'ayant réellement émue. Un comble pour un type qui n'a eu qu'une envie après le tombeaux des lucioles : manger du riz. Je déteste les tires larmes, mais Firewatch a su toucher juste.
Bien sûr, il est imparfait... Mais on s'en fout non ?