GWBW n’est pas un jeu vidéo, c'est un simulateur de frustration par image subliminale
GWBW nous propose une succession de tableau de type « Puzzle Tableur » (également appelé « Puzzle Excel » par la populace), je vous explique :
Le principe d’un jeu de type « Puzzle Tableur » est de proposer une succession d’épreuve millimétré, un peu comme ce jeu où il faut remplir un seau avec un quart de litre alors qu’on ne possède qu’un seau d’un litre et qu’on ne peut charger le seau que de deux litres par deux litre.
Bon, ça, à la rigueur, mais ajoutez à cela des épreuves extrêmement longue, de l’aléatoire imprévisible, et vous obtenez un jeu « Puzzle Tableur Portnawak », félicitation.
Vous trouviez cette critique chiante ? Bravo, vous venez de jouer à GWBW sans le savoir !
Notez que les dévs ont sorti différents modes de jeu, dont un balayant totalement l’aléatoire du jeu, un aveu d’échec qui ne transforme pas pour autant leur jeu en autoroute, mais qui en diminue pas mal l’intérêt du coup.
Autant je comprends le principe de mettre des niveaux de difficultés, bien que je n’approuve pas cela, autant retirer des éléments de GamePlay dans un mode à part, c’est complétement frustrant.
Est-ce que je vais pouvoir dire : j’ai fini GWBW si je l’ai fait en mode « Without Random » ?
Plus globalement, je n’ai pas aimé ce jeu, je n’ai pas réussi à m’y attacher, pas d’affect, rien…
Je pense que les Ludum Dare (prononcez [daré]) et consort ont chié de bien meilleures bouse que cela, et que tout cela ne fut qu’une perte de temps autant pour les dévs que pour les joueurs.