- Reach, la planète d'entraînement des spartans, est attaquée et tombe entre les mains des Covenants. Le vaisseau spatial Pillar of Autumn parvient à s'échapper avec un spartan à son bord. Le vaisseau se pose près d'une structure inconnue appelée Halo, suivi par les vaisseaux ennemis qu'il avait tenté de semer. Cette structure est un anneau habitable, de plus de 10 000 kilomètres de diamètre et aussi.
Halo : Combat Evolved le premier jeu de la licence désormais culte, se lance dans l’idée d’une fresque épique et intergalactique entre l’UNSC des humains et les Covenants.
Mais dans cet univers il n’y a pas que des militaires lambdas, une classe de surhommes existe et le Major John 117 en fait partie.
Et même si tout le monde connaît le Major depuis longtemps, Halo : Combat Evolved n’est pas le jeu qui aura donné cette aura si particulière à son héros.
Le Major est forcément le personnage principal mais c’est bien Cortana l’I.A. qui parle durant tout le jeu, à tel point que le Major fait presque de la figuration auditive.
Le gameplay se veut un peu rigide et on avance plus comme un Doom que comme un Halo 3. Des lignes droites avec des ennemis à éclater, dans des décors quasiment identiques, sauf les extérieurs qui permettront plus de designs.
Par contre on ne peut enlever à Halo : Combat Evolved son univers très complet dès le début du jeu. Avec ce premier opus, l’univers sera déjà au top grâce à son bestiaire.
Des Brutes qui sont les bras droit des chefs de l’Alliance Covenant, des Élites puissants, rapides et méthodiques, des Grognards roublards mais pas courageux, des Rapaces boucliers en main, les Chasseurs blindés et difficilement tuables.
Mais aussi le Parasite, créature emblématique qui nous survivra pendant les premiers trois opus de la saga.
Tout cela sans compter les dizaines d’armes et de véhicules différents qui complètent le monde d’Halo.
Mais est-ce vraiment instructif de regarder ce jeu avec un œil récent et de le comparer à nos standards actuels ou à ses suites ?
Je ne pense pas, mais il faut bien être de mauvaise foi un peu.