Après six années d’absence, l’agent 47 reprend enfin du service ! Retour réussi ?

Après six années d’absence, l’agent 47 reprend enfin du service ! Retour réussi ?
Dans Hitman Absolution, l’agent 47 travaille pour “L’Agence”, une organisation internationale secrète qui collabore avec des entités telles que le FBI, la NSA et autre MI6. Elle utilise des agents de liaisons. Un de ces agents, Diana Burnwood, a trahi l’Agence et semble être rongée par les remords quand elle a choisi de sortir des documents secrets de son organisation et surtout de faire évader la petite Victoria, précieux cobaye des expériences menées par les généticiens de l’ICA, à l’origine de notre agent 47. Celui-ci a d’ailleurs pour mission d’éliminer la personne qui était la plus proche de lui cependant notre agent 47 va finalement se retrouver en fuite après avoir accepté la dernière volonté de Diana : protéger Victoria de l’Agence.

Après un prologue qui plante l’histoire et sert de tutoriel, on s’aperçoit que le scénario est beaucoup plus poussé que dans les anciens épisodes. L’histoire est découpée en 20 missions, elles-mêmes divisées en 54 sections. Les missions proposées sont plus ou moins linéaires car il faut allez d’un point A à un point B afin de valider une des sections de la mission choisie. On peut tout défoncer sur son passage (cela m’est arrivé plus d’une fois …), on bute tout le monde et hop on franchit la porte pour accéder à la section suivante de la mission tout en restant anonyme !
A cela on rajoute une capacité « instinct du tueur » qui permet à notre agent 47 d’observer la trajectoire de ses ennemis, de mettre la main devant son visage afin de passer « tranquillement » devant les gardes, de repérer les indices, de déclencher un mode de tir multiple au ralenti, etc… chouette tout ça mais cela consomme votre barre d’instinct qui selon les modes ne se régénère (ou pas suivant le mode de difficulté) pendant la mission. Bref, Hitman Absolution »casualise » la série et les fans risquent de crier au scandale…

Néanmoins, moi j’adore ! j’ai lancé Hitman Absolution pour la première fois en mode difficile (vrai mode normal d’après certains) afin de ne pas avoir mon instinct de tueur qui se régénère automatiquement et afin d’avoir un challenge dès le début. En plus, je n’ai jamais fini un Hitman de ma vie (souvent joué chez des potes mais jamais fini !) et les quelques aides proposées dans le gameplay m’ont bien plu et plairont aux novices de la licence. Les vingt missions proposées vous occuperont une bonne quinzaine d’heures si vous jouez avec quelques aides. Cette durée de vie peut varier selon le mode de difficulté, en sachant que la rejouabilité du titre est certaine.
Je vous rassure les missions demandent toutefois de bien réfléchir avant de foncer sur sa proie surtout si l’on souhaite réaliser le crime parfait ou une zone difficile car remplie de gardes. Pour les plus pro, le radar disparaît dans les modes de jeu les plus élevés et il ne tiens qu’à vous de ne pas utiliser le mode instinct de tueur ce qui corsera encore plus la difficulté. La force d’Hitman Absolution est de laisser au joueur le choix quand à sa méthode pour réaliser son/ses objectif(s).

Suite sur : http://www.clickandgeek.com/2012/12/01/test-hitman-absolution/