Folie Max pour ne bébé en Payne
j'ai du y jouer peu après sa sortie sur le plat pays qui est le notre... de la façon de la plus naturelle qui soit, en squattant la console chez un autre car il avait ce que l'on avait pas, en l’occurrence chez mon cousin dons la Playstation commençait à offrir plus d'intérêt que mon pauvre et fidèle NES.
Cette époque passée où je n'étais plus tout à fait un être humain normal mais pas encore un joueur tel que je suis actuellement, juste un être fraîchement perdu sur cette voie tel un eldar perdu sur la voie de l'exarque m'aura laissé un amère souvenir de ce jeu. En effet j'ai du laisser quelques points de santé mentale sur le niveau cauchemardesque où Payne reviens dans une version horrifique de sa maison avec en bruit de fond les pleurs de son enfants (bénie soit la sacro-sainte touche mute).
passons rapidement le gameplay en vue, c'est un tps "classique" si ce n'est que l'on peut d'un touche ralentir le temps pour visant plus précisément comme si notre protagoniste agissait sur une montée d'adrénaline et ainsi canarder à tout va plus à son aise (le bullet-time) ou la même variante mais en sautant qui rajoute un petit côté badass, surtout avec deux flingues d'ailleurs parfois je ne jouait qu'avec les flingues qui pour le style (le shoot-dodge), à ces moments le joueur réagit plus vite que les ennemis.
Le jeu a été surtout connu pour cela pourtant la trame est aussi un élément marquant, je ne reviendrai pas sur l'histoire (sois vous la connaissez soit aller faire le jeu non mais) mais seulement sur l'ambiance.
Si le deux est une "Noire love story" le premier n'est pas moins pour moi l'archétype du film policier Noir sauf que notre chère max lui cumule et tout est fait pour renforcer cette ambiance noire et désespérée d'un homme qui n'a rien a perdre sinon sa vengeance. les cut-scene en style comic, la météo qui ne changera qu'a la fin, les incessants monologues de max, l'impression de descente au enfers et la musique.
Le gameplay il est vrai souffre de quelques rigidités mais l'intérêt est l'aspect noir du personnage, l'alternance entre le calme et les fusillades violentes et sanglantes et cette quête vengeresse suicidaire qui ne mènera à rien mais qui est la seule chose que notre (anti-)héros puisse faire.
Bien qu'il ai pris pas mal d'âge et qu'il ne se soit pas forcément bonifier avec il vaut encore le détour ne fut ce qu'en tant que celui qui a permit au "bullet time" de se faire largement connaître